Contrairement à leurs aînés longuement sevrés à la communication institutionnelle (les moins jeunes se rappelleront peut-être nos pontes de l’information télévisée récitant pieusement le texte de leur propre ministère de la communication), la jeunesse d’aujourd’hui, à l’aune de la révolution des TIC, clame surtout haut et fort un franc besoin de transparence, réclame un grand bol frais de vérité vraie…
Si Internet peut entraîner parfois le mal « confusionnel », il faut reconnaître que la bonne foi et la bonne volonté pour séparer la bonne info de la fake news sont toujours et positivement récompensées. Et au regard de tout ce qui concerne notre alimentation et notre santé, la démocratisation des smartphones ainsi que l’apparition des applications « veritas » ont invité les décideurs à agir prestement dans le bon sens de lecture du code-barre, et c’est tant mieux…