Un gel soudain au mois d’avril, on s’en souvient, avait été déclaré comme « la plus grande catastrophe agronomique du début du siècle » par le ministère français de l’agriculture. L’été « pourri » qui a suivi n’a pas vraiment arrangé les affaires des viticulteurs et des exploitants agricoles. En effet, la météo estivale qui a souffert d’une pluviométrie anormalement élevée a été propice aux maladies habituelles de la vigne comme l’oïdium et le mildiou… Malgré ces aléas climatiques, les professionnels du secteur tentent de conserver la tête froide et… un bon moral.
